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23 novembre 2009 1 23 /11 /novembre /2009 13:52

CHAPITRE   V

ORGANISATION DES UNITÉS AÉRIENNES PAR SPÉCIALITÉS.  

I. - GÉNÉRALITÉS.

II. - AVIATION   DE   BOMBARDEMENT.

III. - AVIATION   DE  CHASSE.

IV. - CHASSE DE  NUIT.

V. - ASSAUT ET CHASSE LOURDE.

VI. - AVIATION   DE  RECONNAISSANCE.

VII. - AVIATION   DE TRANSPORT.
VIII. - AÉRONAUTIQUE  NAVALE.



File7554 WEBUn Arado 196 en place sur un navire allemand.

I - GÉNÉRALITÉS

 

Les unités aériennes peuvent se diviser en grandes unités à composition variable (Flotte, Corps aérien, Division aérienne, Commandements spéciaux tels que les Fliegerführer) et petites unités à composition fixe, spécialisées dans une des subdivisions d'armes (chasse, bombardement, etc...).

On a vu l'organisation des grandes unités dans le chapitre précédent. Les petites unités sont : l'escadrille, le groupe et l'escadre.

L'escadrille (Staffel) est la plus petite unité organique de l'Armée de l'Air. Quelle que soit sa spécialité, elle a une dotation de 9 avions.

Le. Groupe (Gruppe) est la plus petite unité tactique quelle que soit sa spécialité, il comprend 3 escadrilles plus une escadrille de commandement à 3 avions plus une en réserve, soit 30 appareils, plus 10 en réserve.

L'escadre (Geschwader) comprend généralement trois groupes et une escadrille de commandement à 9 avions. (Les escadres de bombardement comprennent un 4e groupe qui est un groupe d'entraînement, certaines escadres ont même un 5e groupe).

Numérotation des unités.

Les unités sont numérotées :

— En chiffres romains, pour les Corps aériens et les groupes.

— En chiffres arabes, pour les Flottes, les escadres et les escadrilles.

Les escadres sont désignées par les initiales de leur spécialité (K.G. = Kampfgeschwader, escadre de bombardement) suivi de leur numéro. Le numéro du groupe est placé devant.

Exemple : K.G. 26 = 26e escadre de bombardement.

III/J.G. 2 : 3e groupe de la 2e escadre de chasse.

Les escadrilles d'une escadre sont numérotées à partir de 1 dans l'ordre des groupes (1er, 2ème, 3ème escadrilles pour le groupe I, etc...). Les escadrilles de commandement n'ont pas de numéro. Par contre toutes les escadrilles d'une escadre y compris les escadrilles de commandement ont une lettre distinctive généralement peinte sur le fuselage des appareils : les lettres A, B, C, D, E, F, G sont réservées pour les escadrilles de commandement, les suivantes pour les escadrilles normales.

 

Escadrille de commandement d'escadre…  ................              A

Groupe   I. — Escadrille  de commandement   ............               B

                          lre escadrille .............................         H

                          2e escadrille   .............................              K

                                  3e escadrille   .............................           L

Groupe II. — Escadrille de commandement   ............                C

                                  4e escadrille   ................................                   M

                           etc...

— Les escadres, groupes et escadrilles sont toujours spécialisées dans une subdivision d'armes. Les subdivisions d'armes de l'aviation allemande sont :

— Le bombardement.

— Le bombardement en piqué.

— La chasse.

— La chasse de nuit.

— La chasse lourde.

— L'assaut.

— La reconnaissance.

Outre ces spécialités il existe une catégorie appelée z.b.v. (zu besonderen Verwendung) qui comprend les unités de transport de sauvetage en mer et de missions spéciales. Enfin il faut signaler les unités de l'Aéronautique navale.

File7565 WEBUn Dornier Do 17

II. — BOMBARDEMENT ET BOMBARDEMENT EN PIQUÉ.

 

L'organisation des unités de bombardement, de bombardement en piqué et de torpillage est la même.

L'escadre.

L'escadre de bombardement se désigne par les lettres K.G. (Kampfgeschwader) et l'escadre de bombardement en piqué par les lettres S.G. (Stukageschwader).

L'escadre de bombardement comprend trois groupes de combat (I, II, III) et un groupe d'entraînement (IV). Dans certaines escadres un 5e groupe a été constitué et a permis de porter à 4 le nombre des groupes de combat (I, II, III, IV).

Le groupe IV est toujours groupe d'entraînement : c'est dans ce groupe que les nouveaux équipages affectés à l'escadre sont entraînés avant d'être envoyés dans un des groupes de combat; les IV° groupes de chaque escadre sont généralement basés en Allemagne ou du moins loin de la zone des combats.

L'Etat-Major d'une escadre de bombardement se compose des officiers suivants :

— Le Commandant d'escadre ou Kommodore (généralement Colonel).

— L'Adjudant Major (Adjutant).

— L'officier adjoint (Offizier beim Stabe).

— 1 officier mécanicien.

— 1 officier de navigation et radio.

— 1 officier de transmissions.

— 1 officier photographe.

Il est à noter que l'escadrille de commandement d'une escadre peut être dotée d'appareils différents de ceux des groupes qui la composent.

 

Le groupe.

Le groupe de bombardement comprend en plus de ses trois escadrilles et de l'escadrille de commandement :

— 2 compagnies techniques.

— 1 compagnie de commandement.

— 1 section de transmissions.

Le groupe jouit d'une autonomie complète et peut se déplacer par ses propres moyens : en cas de déplacements une des deux compagnies techniques part en échelon précurseur et attend l'échelon volant sur le nouveau terrain.

L'Etat-Major du groupe comprend :

— Le Commandant de groupe (Lt-Colonel ou Commandant).

— L'Adjudant Major (Adjutant).

— 1 Commandant adjoint (Major beim Stabe).

— 1 officier de navigation et radio.

— 1 officier de transmissions.

— 1 officier de justice militaire.

— 1 commissaire.

— 1 docteur.

Tous ces officiers dépendent directement du commandement du groupe. D'autres emplois secondaires sont remplis par des officiers qui dépendent soit directement du Commandant de groupe, soit d'un des officiers précédents. Ces officiers sont :

— L'officier d'armement.

— L'officier photographe.

— L'officier des sports.

— L'officier de la bibliothèque.

— L'officier de la propagande et presse.

— L'officier d'assistance morale.

L'Adjudant-Major est l'adjoint du Commandant de groupe en tant que Commandant de terrain. Il est chargé de la discipline générale, du service intérieur, du contrôle du personnel, etc…

Le Commandant adjoint (Major beim Stabe) est un officier choisi avec soin par le Commandant parmi les officiers du groupe. Il s'occupe de l'organisation générale du groupe, de l'entraînement du personnel, de l'instruction des officiers, des exercices divers, des déplacements, de l'emploi de la compagnie de commandement et du groupe en général.

L'officier mécanicien (Technischer Offizier) est le conseiller technique du Commandant. Il est responsable de tout le matériel en compte à l'unité; il surveille tous les services techniques du groupe et expédie toute la correspondance technique.

L'officier de navigation et radio est chargé de toutes les questions concernant la navigation : instruction et entraînement des équipages, stockage et distribution des cartes, contrôle des instruments de bord, signaux d'identification radio, météo, etc...

L'officier de transmissions est chef de la section de transmissions du groupe; il a la responsabilité de tout le réseau de transmissions téléphoniques et radio du groupe, de l'instruction du personnel et de tout le matériel radio de bord.

L'officier de justice militaire s'occupe de toutes les questions de sécurité militaire, de justice militaire et de contre-espionnage.

Le Commissaire est un fonctionnaire qui a rang de capitaine et qui s'occupe du ravitaillement en vivres et en habillement, du casernement et de la caisse du groupe.

Le Docteur dirige l'infirmerie du groupe : il a sous ses ordres une équipe d'infir­miers et de brancardiers.

L'officier d'armement peut dépendre soit directement du Commandant, soit de l'officier mécanicien. Il a la charge d'entretenir et de surveiller les dépôts de munitions du groupe, de surveiller l'entretien des armes, de gérer le matériel d'armement, de donner des prescriptions sur le maniement des armes et la manutention des munitions, etc...

L'officier photographe est un officier qui a déjà d'autres attributions. Ses attributions sont assez réduites, car le groupe ne possède pas, en principe, de laboratoire photo, mais simplement un matériel restreint permettant le développement et le tirage. Les travaux photographiques plus importants sont faits dans les laboratoires photo des bases aménagées.

L'officier des Sports est également un officier ayant un autre emploi; il organise le terrain de sports de la base, décerne les brevets de sports, organise des matches à l'intérieur du groupe ou avec d'autres imités.

L'officier chargé de la bibliothèque, s'occupe de l'approvisionnement de la bibliothèque et de l'entretien des livres.

L'officier de propagande et de presse organise des manifestations de propagande et transmet à la presse locale des articles de propagande sur le groupe.

L'officier d'assistance morale est chargé de toutes les questions concernant le bien-être et le moral du personnel.

Les deux compagnies techniques sont commandées chacune par un capitaine assisté de 2 ou 3 sous-officiers. Elles encadrent tous les spécialistes non P.N. du groupe. Elles sont composées de trois sections appelée :

— Warlungsleitung (manutention et entretien des appareils).

— Werkstattzug (atelier réparations).

— Technischc Zügen (mécaniciens spécialistes).

— L'atelier réparations commandé par un adjudant comprend 25 à 30 hommes qui font les petites réparations.

— La section des mécaniciens spécialistes comprend 2 mécaniciens cellule et 2 mécaniciens moteur par avions, plus un mécanicien « Instrument de bord », un mécanicien électricien, 2 monteurs radio, un mécanicien « circuits hydrauliques » et un certain nombre d'armuriers.

La compagnie de commandement comprend tout le personnel divers nécessaire à la bonne marche du groupe (secrétaires, etc...). Elle est commandée par le Commandant adjoint.

Le matériel roulant dont est doté le groupe se compose de :

— 1 camion lourd atelier.

— 2 camions légers atelier.

— 20 Tracteurs.

— 30 camions,

— l6 voitures.

— 1 autobus.

 

File7564 WEB

              L'escadrille.

Les effectifs d'une escadrille de bombardement varient suivant le type d'appareils utilisés. Pour les escadrilles dotées de Ju 88, Do 217, Ju 188 ou autres appareils quadriplaces, les effectifs sont les suivants :

— 12 pilotes : le Commandant d'escadrille (Staffelkapitän), 2 à 5 officiers et 6 à 9 sous-officiers.

— 12 observateurs : 9 officiers et 3 sous-officiers.

— 13 radios : 1 adjudant radio responsable devant l'officier de transmissions et 12 radionavigants,

— 13 mécaniciens : un Adjudant mécanicien chef de hangar et 12 mécaniciens tireurs navigants.

— 5 armuriers : un Adjudant et 5 armuriers.

— Une trentaine de divers : un Adjudant, un sous-officier, un comptable, 2 secrétaires, 3 garde-magasins et 20 à 25 chauffeurs.

Ce personnel est le personnel organique de l'escadrille, compte non tenu des spécialistes des Compagnies techniques qui travaillent sur les avions au sol, mais ne sont pas navigants. Le nombre de ces spécialistes n'est pas contant : l'officier Wartungsleitung des compagnies techniques répartit chaque matin les spécialistes entre les différentes escadrilles suivant le travail à faire; en moyenne le nombre de spécialistes mis à la disposition d'une escadrille est de l'ordre de 75.

Les officiers de l'escadrille se répartissent dans les différents emplois suivants :

Officier Z.b.v., officier le plus ancien après le Commandant d'escadrille : il exerce les fonctions de Commandant en second; aidé d'un Adjudant, il commande tout le personnel « divers » de l'escadrille et tient les graphiques d'activité de l'unité.

Officier technique, officier pilote confirmé qui contrôle le travail des mécaniciens et s'occupe de tout le matériel volant.

Officier de navigation, qui prépare les itinéraires et s'occupe de l'instruction du personnel au point de vue de la navigation aérienne.

Officier radio, officier P.N. qui contrôle le travail des radionavigants et fait de petits cours aux pilotes et aux observateurs sur le service radio.

Officier d'armement.

— Officier des bombes.

— Officier chargé de l'instruction militaire.

Officier des Sports.

 

File7570 WEBLe fuselage abandonné d'un FW 200.


III. — CHASSE

 

— Les escadres de chasse (Jagdgeschwader) sont désignées par les lettres : J.G.

— L'organisation des unités de chasse est analogue à celle des unités de bombardement, mais les effectifs des escadrilles sont évidemment moindres : le personnel navigant est réduit aux pilotes qui sont toujours 12 : le Commandant d'escadrille, 2 officiers et 9 sous-officiers.

Pour l'emploi tactique, les escadrilles se subdivisent eu « Rotte » (patrouille de 2 appareils, l'un attaquant et l'autre défendant) et en «Schwarm», double «Rotte».

Enfin il est à noter que l'échelon des unités spécialisées dans la chasse n'est pas toujours limité à l'escadre; il existe des grandes unités et des commandements supérieurs exclusivement spécialisés dans la chasse, surtout depuis le déclenchement des grandes offensives aériennes contre les centres industriels du Reich : le IIe Jagdkorps est un Corps aérien exclusivement spécialisé dans la chasse; il y a également des divisions aériennes de chasse.(on en compte 7 actuellement), il y a également d'autres commandements supérieurs de composition variable appelés « Jafu » (Jagdführer) qui ont été créés pour la défense de certains secteurs du plus grand Reich. Les Jafu dont l’E.M. comprend 6 ou 7 officiers supérieurs, contrôlent l'activité d'un nombre variable d'escadres (2 ou 3). Devant l'ampleur de l'offensive aérienne alliée les Allemands ont été amenés à placer leurs salles de contrôle ou « ops room » à un échelon de plus en plus élevé. D'après certains prisonniers faits récemment, le contrôle de l'aviation de défense du Reich ne se ferait même plus à l'échelon Jafu ou Division : les escadres seraient dirigées directement par un E.M. central situé près de Berlin, commandant toute l'aviation de chasse affectée à la défense du Reich.

 

IV. — CHASSE DE NUIT

 

Les escadres de chasse de nuit se désignent par les lettres N.J.G. (Nachtjagdge-schwader).

Comme pour la chasse de jour, les Allemands ont formé des commandements de chasse de nuit supérieurs à l'escadre. Les premières escadres de chasse de nuit ont été créées en 1940 et 1941. En 1942 il y avait déjà un Corps aérien de chasse de nuit, le Xll° Fliegerkorps qui groupait :

— 3 escadres de Me 110.

— 1 groupe de Ju 88.

— 3 régiments de projecteurs.

— 3 régiments de transmissions.

— Un nombre variable d'escadrilles autonomes réparties sur le territoire du Reich.

— Une école de spécialisation et un Corps de radiodétection.

Actuellement il existe 7 « divisions » de chasse de nuit qui sont des commandements de secteurs. Ces commandements emploient les 7 escadres qui constituent l'effectif actuel de la chasse de nuit allemande. On ne sait si le XIIe Corps aérien contrôle toujours l'ensemble.

Les escadrilles de chasse de nuit seraient dotées non pas de 12 appareils (9 +3), mais de 15 dont 3 en réserve.

 

V. — ASSAUT ET CHASSE LOURDE

 

Les unités d'assaut et de chasse lourde sont organisées comme les unités de bombardement L'échelon organique le plus élevé est l'escadre qui ne comporte souvent que 2 groupes.

 

VI. — RECONNAISSANCE

 

Dans la reconnaissance l'échelon organique le plus élevé est le groupe. Les groupes de reconnaissance ou Aufklarunggruppen étaient autrefois de deux types : les groupes H (Heer) de reconnaissance tactique et les groupes F (Fern) de reconnaissance lointaine. Ces groupes étaient mis à la disposition de l'Armée de Terre. Un Général de la Luftwaffe « beim O.K.W. » (près du commandement en chef de la Wehrmacht) commandait l'ensemble. Mais cette organisation présentait un inconvénient : il arrivait fréquemment que le commandement aérien faisait faire, pour son 'compte, une reconnaissance qui avait déjà été faite pour le compte du commandement terrestre. Pour remédier à cet inconvénient, l'Armée de l'Air a repris le contrôle des groupes de reconnaissance et satisfait toutes les demandes de l'Armée de Terre. D'autre part les groupes ne sont plus spécialisés : les groupes de reconnaissance actuels sont des groupes mixtes comprenant généralement une ou deux escadrilles de reconnaissance lointaine et une ou deux escadrilles de reconnaissance tactique. Les 3 ou 4 escadrilles qui composent le groupe ont souvent un matériel différent et sont souvent basés sur un terrain différent.

En effet l'escadrille de reconnaissance est une unité autonome qui peut vivre par ses propres moyens. Elle comprend on plus du P.N. environ 160 sous-officiers et hommes de troupe parmi lesquels une vingtaine de photographes. Elle est équipée pour le développement, le tirage et l'exploitation des photographies aériennes.

File7569 WEB

 

VIl — AVIATION DE TRANSPORT

 

Avant la guerre les avions de transport de la Luftwaffe étaient répartis entre les différentes unités (chaque escadrille en possédait deux). Mais dès le début de la guerre, le commandement allemand comprit que le rendement de cette organisation était très mauvais, car la plupart des avions restaient inutilisés pendant de longues périodes, lorsque les unités restaient stationnaires. Tous les avions de transports furent donc regroupés aux échelons supérieurs et organisés en unités Z.b.v. (à la disposition du commandement).

Ces unités de transport ont lu même organisation que les unités de bombardement (escadrille, groupe, escadre). Dans des périodes de crise, certaines escadres de bombardement ont même été classées K.G.Z.B.V. et ont été utilisées par le Haut Commandement pour effectuer des transports de -troupe importants.



 

VIII — AÉRONAUTIQUE NAVALE

 

Tonte l'aviation mise à la disposition de la Marine est placée sous le commandement d'un Général de la Luftwaffe « beim oh.d.M. » (près du Commandant en chef de la Marine). L'ensemble de ces unités s'appellera « Marinefliegerverbände » ou Aéronautique navale, qui comprend :

— Des unités entières (Küslenverbände).

— Et des unités embarquées (Eingeschifftenverbande).

— Les unités côtières peuvent être équipées d'hydros à coques, d'hydros à flotteurs ou de « terrestres».

— Les unités embarquées sont de deux types : escadrilles de bord, équipes d'hydravions catapultables (2 ou 3 appareils pour les croiseurs, 4 pour les navires de ligne) et groupes T (Trägergruppen) destinés aux porte-avions (sur le Graf-Zeppelin étaient prévues 5 escadrilles comptant au total 43 appareils de divers types).

 

 

 File7561 WEB

Un mécano peint l'insigne sur un hydravion Heinkel He 114 .

 

 

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  • Je suis un historien aéronautique bien connu et j'ai publié de très nombreux articles, et j'ai visité de nombreuse base aérienne, en France et en Europe; ainsi que trois ouvrage sur: Les Autogires, les Loire 46, et les Bloch 174.
  • Je suis un historien aéronautique bien connu et j'ai publié de très nombreux articles, et j'ai visité de nombreuse base aérienne, en France et en Europe; ainsi que trois ouvrage sur: Les Autogires, les Loire 46, et les Bloch 174.

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